À la manière de fiers combattants, les maçons du Groupe Atwill-Morin harnachés à leurs exosquelettes sont prêts à relever aisément des défis jusqu’ici difficilement surmontables, pour un homme à longueur de journée, dans les chantiers spécialisés.

Le Groupe Atwill-Morin innove en santé et sécurité au profit de ses maçons en faisant l’acquisition de plusieurs exosquelettes qui feront leur apparition sur les chantiers de construction de l’entreprise.Réservées jusqu’ici presque exclusivement aux mondes médical et militaire, ces armatures personnelles futuristes vont devenir réalité sur les chantiers du Groupe Atwill-Morin dans les prochaines semaines afin de procurer à ses maçons et manœuvres toute l’aide externe capable d’alléger leur travail et de soutenir l’ensemble de leur corps.

 

« À une époque où la santé et la sécurité de nos travailleurs prennent des allures d’enjeux de toute première importance, il fallait trouver une solution inédite à des difficultés tout aussi particulières », a annoncé le président du Groupe Atwill-Morin, Matthew Atwill-Morin, conscient que les défis de la maçonnerie exigent de porter une attention particulière à la santé et au bien-être du capital humain de l’entreprise, celui-ci étant le principal actif de l’organisation.

L’utilisation des exosquelettes fait en sorte que la pression sur les membres du corps, particulièrement les genoux, soit éliminée, tout comme le poids des charges qui est ainsi largement mieux réparti, épargnant du même souffle toutes les articulations du corps humain et réduisant à zéro, ou presque, les risques de blessures et les accidents du travail.

« Habituellement fait de tiges de titane qui descendent le long des jambes et qui sont fixées à une ceinture coulissante, celle-ci rattachée dans le dos à une structure articulée ressemblant à une colonne vertébrale, l’exosquelette permet aux mouvements du travailleur de se déployer en toute fluidité en supportant environ 70 % de la charge manœuvrée », a précisé M. Atwill-Morin. Il a spécifié qu’à l’origine, les graves blessures recensées chez les soldats des forces de l’OTAN en mission en Irak et en Afghanistan avaient dicté la mise au point d’exosquelettes pour les soldats appelés à transporter des charges pouvant aller jusqu’à 77 kg (170 lb).

« Raison de plus pour opter pour cette technologie inédite au bénéfice de nos travailleurs qui sont aussi appelés à manœuvrer, ou transporter sur de courtes distances, des pièces d’équipement ou des matériaux essentiels à l’accomplissement des travaux », a ajouté Mark Atwill-Morin, vice-président Opérations du Groupe.

Engagé envers la santé et la sécurité de ses employés de chantier, le Groupe Atwill-Morin estime qu’il est de la responsabilité première des entreprises d’offrir à leurs employés la capacité de soulager les postures contraignantes et les douleurs associées aux gestes répétitifs dans les secteurs de la manutention et de la construction.

Cette initiative ne pouvait tomber mieux, a renchéri le président, à un moment où sont modernisées deux vieilles lois, celle sur la santé et la sécurité du travail adoptée en 1979 et celle sur les accidents du travail et les maladies professionnelles. En plus de réduire les troubles musculosquelettiques, les exosquelettes mécaniques du Groupe Atwill-Morin permettront d’améliorer sensiblement les performances humaines et la productivité en accélérant la cadence ou en décuplant quasiment la force des travailleurs.

Le président du Groupe Atwill-Morin a conclu en se réjouissant du fait que, comme réelle valeur ajoutée, l’utilisation des exosquelettes jouera un rôle prédominant dans la rétention et le recrutement de personnel, surtout en ces temps de pénurie de main-d’œuvre.